Notre cerveau est divisé en deux, ce n’est pas un
cerveau global. Chaque hémisphère possède un rythme et donc une perception qui
le caractérise. L’hémisphère droit est le cerveau de l’émotion, du créatif.
HCG (Hémisphère Cérébral Gauche)
Cet hémisphère, par opposition au droit, est
celui de la perception duale, raisonnée. (Voir les caractéristiques des deux
hémisphères dans le livre).
IAG (Impact Analogique Gratifiant)
Ce sont des faits concrets, émotionnellement
gratifiants.
IAT (Impact Analogique Traumatique)
Ce sont des faits concrets, émotionnellement
traumatiques.
IERA (Induction à l’État Régressif
Anathéorétique)
C’est l’état de conscience qui rend
possible la thérapie anathéorétique. On l’obtient en emmenant le patient à un
rythme cérébral de 4 hertz, c'est-à-dire au bord inférieur des ondes Thêta,
juste avant d’entrer en Delta. Dans cet état, la personne ne perd pas la
conscience, elle n’entre pas en amnésie, comme c’est le cas en hypnose
profonde. Le patient est conscient de ce qu’il dit et fait et s’il le désire il
peut stopper la thérapie à tout moment.
IS (Imagination Symbolique)
En Anathéorèse on distingue entre
imagination et fantaisie. Il est prouvé que notre imagination n’est pas libre,
mais conditionnée par le contenu de notre biographie occulte.
PEU (Perception Extra-Utérine)
J’appelle « perception extra-utérine » la
capacité qu’a l’embryon ou le foetus de visualiser des évènements qui se
produisent à l’extérieur de l’utérus ou du canal de naissance. La recherche
clinique prouve que ces événements, dont le patient n’a aucune mémoire Bêta,
sont ceux qui se sont produits effectivement. Les nombreux témoignages de
personnes présentes pendant l’accouchement le confirment, non sans stupeur…
PGI (Perception Globale Induite)
C’est l’induction d’une personne dans un
état de conscience global – normalement EP1 – pendant lequel surgit un contenu
fortement archétypique. Des contenus qui d’autre part sont très importants pour
leur caractère thérapeutique.
TGS (Test des Grands Symboles)
C’est un test qui précède la
thérapie anathéorétique et qui permet de connaître d’un côté si la personne
entre bien en IERA, dans quelle condition il entre et de l’autre, le type et la
profondeur des dégâts émotionnels qui ont provoqué la maladie.